Lettre de M. Bouesseliaux adressée à MM. Castets et Dumora, marchands de bois à Mées (40)
Archive privée inédite
- Date: 23/02/1848
- Lieu: Bayonne (64)
© Toute utilisation de cette transcription est soumise à autorisation
[La transcription peut comporter des erreurs]
Messieurs Castets et Dumora,
propres et marchands de bois
à Mées par Dax.
( Landes ).
Le courrier de ce matin nous a porté une lettre de M. Prignot qui nous informe que ses affaires dans les hautes Pyrenées l'empêcheront de se rendre auprès de vous aussi prochainement que nous vous l'avons écrit hier.
Desirant faire quelque chose qui vous soit agréable nous nous sommes décidés à charger M. Bouesseliaux de la recette de vos bois ne pouvant pas dérranger M. Fçois Rouzaud dans ce moment; mais il ne pourra se rendre auprès de vous que mardi prochain; veuillez donc prendre vos dispositions pour le rejoindre à Dax, chez Mad: Vergez le dit jour, vers onze heures du matin
Nous vous prions, Messieurs, d'avoir les ouvriers sur les lieux pour virer les pièces et souder celles qui en seront susceptibles; ces ouvriers feront bien de se munir d'une scie (arpent) pour ébouter des pièces.
Agréez, Messieurs, nos salutations bien empressées
Lettre de la maison
Renouard & Compe fournrs
de bois à bayonne -
du 23 fevrier 1848.
propres et marchands de bois
à Mées par Dax.
( Landes ).
Bayonne, le 23 février 1848
Messieurs Castets et Dumora, à Mées
Messieurs Castets et Dumora, à Mées
Le courrier de ce matin nous a porté une lettre de M. Prignot qui nous informe que ses affaires dans les hautes Pyrenées l'empêcheront de se rendre auprès de vous aussi prochainement que nous vous l'avons écrit hier.
Desirant faire quelque chose qui vous soit agréable nous nous sommes décidés à charger M. Bouesseliaux de la recette de vos bois ne pouvant pas dérranger M. Fçois Rouzaud dans ce moment; mais il ne pourra se rendre auprès de vous que mardi prochain; veuillez donc prendre vos dispositions pour le rejoindre à Dax, chez Mad: Vergez le dit jour, vers onze heures du matin
Nous vous prions, Messieurs, d'avoir les ouvriers sur les lieux pour virer les pièces et souder celles qui en seront susceptibles; ces ouvriers feront bien de se munir d'une scie (arpent) pour ébouter des pièces.
Agréez, Messieurs, nos salutations bien empressées
| pr Mrs Che Renouard, Léglise père & fils ainé Bouesseliaux |
Lettre de la maison
Renouard & Compe fournrs
de bois à bayonne -
du 23 fevrier 1848.