Lettre de L. Cadilhon adressée à M. Forestier, juge de paix, à Habas (40)
Archive privée inédite
- Date: 21/08/1842
- Lieu: Mont-de-Marsan (40)
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[La transcription peut comporter des erreurs]
Monsieur Forestier,
Juge de paix du Canton
de pouillon,
à Habas.
Landes.
Ma mère & moi avons appris avec le plus vif Intérêt, vous n'en doutez pas, la bonne nouvelle que vous avez bien voulu m'annoncer, du mariage de melle ernestine. nous désirons sincèrement que les élements de bonheur que présente son union avec Mr Lagelouze, dépassent vos espérances; si nos voeux pouvaient y Contribuer vous pouvez être sur qu'ils ne feront pas defaut. ma mère tient Essentiellement à sa famille maternelle, je pense Comme elle, vous pouvez dès lors Juger de la part que nous prenons à votre bonheur. Soyez, Je vous prie, l'Interprête de nos sentiments auprès de mme forestier & de melle votre fille.
J'ai eu le plaisir de voir votre fils à dax l'an dernier, Il tient beaucoup des forestier & de son père; Je vous en fais à tous deux mon Compliment, on ne dégénère pas chez vous. faites lui, je vous prie, mes amitiés.
Je vous renouvelle, toujours avec un nouveau plaisir, Mon Cher Cousin, l'Expression bien vraie du plus affectueux dévouement.
Montdemarsan le 21. Aout 1842.
Juge de paix du Canton
de pouillon,
à Habas.
Landes.
Mon Cher Cousin,
Ma mère & moi avons appris avec le plus vif Intérêt, vous n'en doutez pas, la bonne nouvelle que vous avez bien voulu m'annoncer, du mariage de melle ernestine. nous désirons sincèrement que les élements de bonheur que présente son union avec Mr Lagelouze, dépassent vos espérances; si nos voeux pouvaient y Contribuer vous pouvez être sur qu'ils ne feront pas defaut. ma mère tient Essentiellement à sa famille maternelle, je pense Comme elle, vous pouvez dès lors Juger de la part que nous prenons à votre bonheur. Soyez, Je vous prie, l'Interprête de nos sentiments auprès de mme forestier & de melle votre fille.
J'ai eu le plaisir de voir votre fils à dax l'an dernier, Il tient beaucoup des forestier & de son père; Je vous en fais à tous deux mon Compliment, on ne dégénère pas chez vous. faites lui, je vous prie, mes amitiés.
Je vous renouvelle, toujours avec un nouveau plaisir, Mon Cher Cousin, l'Expression bien vraie du plus affectueux dévouement.
L Cadilhon |
Montdemarsan le 21. Aout 1842.