Lettre de M. Ducournau adressée à François Ducournau, docteur médecin à Bénesse-Maremne (40)
Archive privée inédite
- Date: peut-être 11/08/1889
- Lieu: Grenade-sur-l'Adour (40)
© Toute utilisation de cette transcription est soumise à autorisation
[La transcription peut comporter des erreurs]
Monsieur
François Ducournau docteur
médécin à Benesse maremne
Canton de St vincent de Tyrosse
Landes
Un envoi de prunes Clodes dans dans une Caisse sera expédié mardi prochain 13 du Courant par le train du matin en gare de Grenade, pour madame Cabos et Compagnie, elles commencent à murir la quantité est ci grande les branches ne peuvent pas les soutenir il a fallu y mètre des appuis, il est régrétable de n'être pas plus rapproché.
dans ta dernière lettre tu me dis Il est écrit que je serez incorrigible et que je ne veux Comprendre aucune des leçons que je reçois, je veux te prouver le Contraire, justine et moi nous partimes jeudi matin pour eugénie les Bains l'un pour Boire de leau et lautre ce baigner à nicolas, nous rentrames le soir pour repartir le vendredi et nous avons l'intention de Continuer pendant longtemps monsieur Balous nous la Conseillé et que nous avons Commencé d'exécuter avec l'intention de Continuer, ce n'est pas tout et faire une excurtion à la mer, et puis me reposer .....
justine depuis quelque jours na pas de fièvre quand a moi je suis bien ainsi que tous ceux de la maison
le froment est engrangé il y a eû de la paille peu de rendemant, le maïs souffre beaucoup par la sechéresse
Bien de Compliments de la par de nous tous
François Ducournau docteur
médécin à Benesse maremne
Canton de St vincent de Tyrosse
Landes
Grenade le 12 Aout 1889
Mon cher François
Mon cher François
Un envoi de prunes Clodes dans dans une Caisse sera expédié mardi prochain 13 du Courant par le train du matin en gare de Grenade, pour madame Cabos et Compagnie, elles commencent à murir la quantité est ci grande les branches ne peuvent pas les soutenir il a fallu y mètre des appuis, il est régrétable de n'être pas plus rapproché.
dans ta dernière lettre tu me dis Il est écrit que je serez incorrigible et que je ne veux Comprendre aucune des leçons que je reçois, je veux te prouver le Contraire, justine et moi nous partimes jeudi matin pour eugénie les Bains l'un pour Boire de leau et lautre ce baigner à nicolas, nous rentrames le soir pour repartir le vendredi et nous avons l'intention de Continuer pendant longtemps monsieur Balous nous la Conseillé et que nous avons Commencé d'exécuter avec l'intention de Continuer, ce n'est pas tout et faire une excurtion à la mer, et puis me reposer .....
justine depuis quelque jours na pas de fièvre quand a moi je suis bien ainsi que tous ceux de la maison
le froment est engrangé il y a eû de la paille peu de rendemant, le maïs souffre beaucoup par la sechéresse
Bien de Compliments de la par de nous tous
Ton père devoué
Ducournau
Lugat
Ducournau
Lugat
- DUCOURNAU ?
- ( - >1889 Grenade-sur-l'Adour ? )
- DUCOURNAU Jean-François
- ( - >1889 Bénesse-Maremne ? )