Lettre de M. Dupouy adressée à Adain Hiard, négociant à Mugron (40)
Archive privée inédite
- Date: 01/01/1828
- Lieu: Moustey (40)
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[La transcription peut comporter des erreurs]
Monsieur
Hiard (Adain) Negt
A Mugron
Par Bordeaux
La Douleur Dans laquelle nous à Plongé, la mort de nôtre Enfant Jointe aux vives souffrances queprouve Jounellement Caroline, depuis une quinzaine de jours, occasionnées par un mal au sein gauche, font quelle a la [fiere?] ce Jours Passés vous voyes que dans l'état ou elle est, il m'est impossible de la quitter; mettés vous pour un moment a ma Place, vous verres que Je ne Puis me rendre a tartas, au moins encore de quelques Jours, Je Pense que vous seres asses raisonable pour ne Pas m'obliger a la quitter dans l'état ou elle est. vous deves Penser monsieur, qu'il me tarde autant qu'à vous que le Partage Définitif se termine.
Si ma femme est Mieux lorsque vous m'écrirés Pour me rendre a tartas Je Partirai sur le champ; dans le cas contraire vous ne me ferés pas Je Pense un crime de rester auprés D'elle.
Je vous Prie de m'écrire pour me fixer le Jour que vous choisirés Pour tuer les oies affin que J'envoie un Domestique pour venir les chercher comme il en a été convenu a mon Dernier voyage.
Hiard (Adain) Negt
A Mugron
Par Bordeaux
Moustey le 1ier Janvier 1828 |
Mon cher Monsieur,
La Douleur Dans laquelle nous à Plongé, la mort de nôtre Enfant Jointe aux vives souffrances queprouve Jounellement Caroline, depuis une quinzaine de jours, occasionnées par un mal au sein gauche, font quelle a la [fiere?] ce Jours Passés vous voyes que dans l'état ou elle est, il m'est impossible de la quitter; mettés vous pour un moment a ma Place, vous verres que Je ne Puis me rendre a tartas, au moins encore de quelques Jours, Je Pense que vous seres asses raisonable pour ne Pas m'obliger a la quitter dans l'état ou elle est. vous deves Penser monsieur, qu'il me tarde autant qu'à vous que le Partage Définitif se termine.
Si ma femme est Mieux lorsque vous m'écrirés Pour me rendre a tartas Je Partirai sur le champ; dans le cas contraire vous ne me ferés pas Je Pense un crime de rester auprés D'elle.
Je vous Prie de m'écrire pour me fixer le Jour que vous choisirés Pour tuer les oies affin que J'envoie un Domestique pour venir les chercher comme il en a été convenu a mon Dernier voyage.
Recevés lassurance De mon sincere attachemt avec laquelle Jai lhonneur D'être Monsieur, Votre Devoué ami & Parent Mel Dupouy |
- HIARD Bernard
- Adain Hiard
- ( - >1866 Mugron ? )
Lettre de M. Dupouy adressée à Adain Hiard, négociant à Mugron (40) Archive privée inédite
Date: 04/02/1828
Lieu(x):
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(40)
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Lieu(x):
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Date: 21/04/1828
Lieu(x):
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(40)