Lettre de François Muret adressée à M. Serres, avoué-licencié à Dax (40)
Archive privée inédite
- Date: 16/03/1856
- Lieu: Mugron (40)
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Monsieur.
Serres. Avoué Lissencié
Dax.
Landes.
Je me prend la liberté de vous adresser la presante lettre esperant que vous aurez la complaisance de mecouter ces mots ci après.
Mr Les femmes sont en discorde chez nous par raport à des méchants raports, medisances que l'autre dommestique à raporté contre moi, et je suis obligé à m'en alé et sa m'est bien pénible, je suis bien faché de vous quitté mais je ne veux pas être la cause de bruit dans une maison.
Si c'était pour la vieille Jeannette je resterai mais pour la Jeune je ne veux pas rester.
Mr Cependent je crois que vous pourriez mettre un peu de silence à cela si vous vouliez vous en melez. Et j'espère que vous voudrez vous y donner à la peine, et à la première vue je vous siterez mes raisons.
En esperant de vous voir un de ces jours.
J'ai L'honneur d'étre Monsieur. Votre tres humble et très Obeissant Serviteur.
Monsieur je vous prie de n'en pas le faire connaitre que je vous ai écrit parce quelles m'en voudrait.
Serres. Avoué Lissencié
Dax.
Landes.
Mugron le 16 Mars 1856
Monsieur.
Monsieur.
Je me prend la liberté de vous adresser la presante lettre esperant que vous aurez la complaisance de mecouter ces mots ci après.
Mr Les femmes sont en discorde chez nous par raport à des méchants raports, medisances que l'autre dommestique à raporté contre moi, et je suis obligé à m'en alé et sa m'est bien pénible, je suis bien faché de vous quitté mais je ne veux pas être la cause de bruit dans une maison.
Si c'était pour la vieille Jeannette je resterai mais pour la Jeune je ne veux pas rester.
Mr Cependent je crois que vous pourriez mettre un peu de silence à cela si vous vouliez vous en melez. Et j'espère que vous voudrez vous y donner à la peine, et à la première vue je vous siterez mes raisons.
En esperant de vous voir un de ces jours.
J'ai L'honneur d'étre Monsieur. Votre tres humble et très Obeissant Serviteur.
Muret françois au Cros.
Monsieur je vous prie de n'en pas le faire connaitre que je vous ai écrit parce quelles m'en voudrait.
- MURET François
- ( - >1856 Mugron ? )