Lettre de M. Laborde adressée à M. Labrouche, maire, à Saint-Jean-de-Luz (64)
Archive privée inédite
- Date: 22/10/1828
- Lieu: Pau (64)
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à Monsieur
Monsieur Labrouche, maire,
à St Jean-de-Luz
à Monsieur Labrouche,
à St Jean-de-Luz
Monsieur,
A la date du 18 courant je reçois une lettre de m. m. Larroze et Pellon où se trouve ce paragraphe.
« mr Labrouche étant chès lui, à St Jean, vous n'avés qu'à lui demander les 400f qu'il doit vous fournir. s'il ne la déjà fait ce ne peut être que par oubli, car vous savés qu'il était convenu de vous les faire parvenir »
En conséquence je viens vous prier de me faire passer desuite cette somme, ou si vous le préferés de m'autoriser à me prévaloir sur vous d'un mandat, Payable à Présentation, à Bayonne.
J'ai dirigé sur Bercy la plus grande partie des procurations, il m'en manque encore quelques unes qui sont entre les mains des notaires détenteurs et d'autres que des maires n'ont pas encore fourni, les uns par méfiance et les autres par indolence, Je me plais à croire cependant que tous suivront l'impulsion et qu'avant long-tems tous les matériaux nécéssaires à notre grande entréprise seront réunis à la capitale.
Veuillés m'honorer d'une réponse et agréer l'assurance de mon bien respectueux devouement
Monsieur Labrouche, maire,
à St Jean-de-Luz
Pau, le 22. 8bre 1828 |
à Monsieur Labrouche,
à St Jean-de-Luz
Monsieur,
A la date du 18 courant je reçois une lettre de m. m. Larroze et Pellon où se trouve ce paragraphe.
« mr Labrouche étant chès lui, à St Jean, vous n'avés qu'à lui demander les 400f qu'il doit vous fournir. s'il ne la déjà fait ce ne peut être que par oubli, car vous savés qu'il était convenu de vous les faire parvenir »
En conséquence je viens vous prier de me faire passer desuite cette somme, ou si vous le préferés de m'autoriser à me prévaloir sur vous d'un mandat, Payable à Présentation, à Bayonne.
J'ai dirigé sur Bercy la plus grande partie des procurations, il m'en manque encore quelques unes qui sont entre les mains des notaires détenteurs et d'autres que des maires n'ont pas encore fourni, les uns par méfiance et les autres par indolence, Je me plais à croire cependant que tous suivront l'impulsion et qu'avant long-tems tous les matériaux nécéssaires à notre grande entréprise seront réunis à la capitale.
Veuillés m'honorer d'une réponse et agréer l'assurance de mon bien respectueux devouement
Laborde