Lettre de Loïde Larreillet adressée à Mme Larreillet, à Herm (40)
Archive privée inédite
- Date: 29/12/1849
- Lieu: Bordeaux (33) - Quadrille
© Toute utilisation de cette transcription est soumise à autorisation
[La transcription peut comporter des erreurs]
Madame Larreillet
à Herm
par Dax
Landes.
Ma chère Maman
Voilà une nouvelle année qui va s'ouvrir pour vous, je vous la souhaite bonne et heureuse vous désirant le bonheur et de la consolation. Je regrette seulement de n'être pas auprès de vous comme Fanny à qui j'envie ce bonheur pour vous offrir mes voeux de vive voix. La seule chose que je puisse faire pour adoucir le chagrin que me cause notre éloignement c'est de prier Dieu pour qu'il vous accorde la santé et le bonheur. Je tacherai de vous le procurer autant qu'il est possible en profitant de l'éducation que vous me faites donner. J'en sens le prix de plus en plus et je viens vous en exprimer ma reconnaissance ainsi que de toutes les bontés dont j'ai été constamment l'objet. Je ne pourrai jamais reconnaître tant de bienfaits autant que vous le meritez, mais du moins je le ferai en partie en vous aimant bien tendrement.
Recevez, ma chère Maman, l'assurance de mes sentiments d'amour et de reconnaissance avec lesquels je suis
Quadrille le 29 Décembre 1849.
à Herm
par Dax
Landes.
Ma chère Maman
Voilà une nouvelle année qui va s'ouvrir pour vous, je vous la souhaite bonne et heureuse vous désirant le bonheur et de la consolation. Je regrette seulement de n'être pas auprès de vous comme Fanny à qui j'envie ce bonheur pour vous offrir mes voeux de vive voix. La seule chose que je puisse faire pour adoucir le chagrin que me cause notre éloignement c'est de prier Dieu pour qu'il vous accorde la santé et le bonheur. Je tacherai de vous le procurer autant qu'il est possible en profitant de l'éducation que vous me faites donner. J'en sens le prix de plus en plus et je viens vous en exprimer ma reconnaissance ainsi que de toutes les bontés dont j'ai été constamment l'objet. Je ne pourrai jamais reconnaître tant de bienfaits autant que vous le meritez, mais du moins je le ferai en partie en vous aimant bien tendrement.
Recevez, ma chère Maman, l'assurance de mes sentiments d'amour et de reconnaissance avec lesquels je suis
votre fille affectueuse
Loïde Larreillet
Loïde Larreillet
Quadrille le 29 Décembre 1849.
- LARREILLET Fanny
- ( - >1850 Herm ? )
- citée
- LARREILLET Loïde
- ( - >1852 Herm ? )