Lettre de M. Samonzet adressée à M. Ferrier, conseiller à la cour royale de Pau (64)
Archive privée inédite
- Date: 17/09/1837
- Lieu: Laruns ? (64)
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[La transcription peut comporter des erreurs]
A Monsieur,
monsieur, Ferrier, conseiller à la cour
royale,
à Pau,
Mon cher ami,
Je viens de visiter de nouveau les appartements dont vous me parlez, la chambre, ma voisine, et les deux cabinets n'ont qu'un matelas; mais on va en placer un autre dans chacun. Quant au lit pliant on n'en a point; on ne veut pas même fournir un matelas de plus. Cela étant bien décidé par le loueur, j'ai voulu qu'il me louat le cabinet contigu à la cuisine, et j'ai promis 10s par jour de plus. De cette façon votre logement vous coutera 4L 10s ....... Si vous l'acceptez ne répondez point, et venez l'occuper [] dans le cas opposé, écrivez-moi par le même courrier, et donnez-moi contre ordre. Les gens d'ici veulent être libres de louer et je me suis engagé à leur dire si ou non. Je suis chagrin de ne pas vous [savoir?] l'appartement de Paris mais vous êtes pressé par le temps.
Le 17 7bre
monsieur, Ferrier, conseiller à la cour
royale,
à Pau,
Mon cher ami,
Je viens de visiter de nouveau les appartements dont vous me parlez, la chambre, ma voisine, et les deux cabinets n'ont qu'un matelas; mais on va en placer un autre dans chacun. Quant au lit pliant on n'en a point; on ne veut pas même fournir un matelas de plus. Cela étant bien décidé par le loueur, j'ai voulu qu'il me louat le cabinet contigu à la cuisine, et j'ai promis 10s par jour de plus. De cette façon votre logement vous coutera 4L 10s ....... Si vous l'acceptez ne répondez point, et venez l'occuper [] dans le cas opposé, écrivez-moi par le même courrier, et donnez-moi contre ordre. Les gens d'ici veulent être libres de louer et je me suis engagé à leur dire si ou non. Je suis chagrin de ne pas vous [savoir?] l'appartement de Paris mais vous êtes pressé par le temps.
adieu, je vous embrasse
Samonzet |
Le 17 7bre