Lettre de Virginie Guillhaume, née Cazaux, adressée à M. Hyard aîné, propriétaire à Mugron (40)

Monsieur
Monsieur hyard fils
àime proprietaire
à Mugron
par lipostey

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Ma lettre de ce jours est pour vous apprandre que Monsieur de couvallete ma contez largan des 500 franc comme vous lui aviez mande dans la lettre que vous lui adressiez que je trouvez dans la miene il est vrai que vous avez encore 100 fran qui mapartienent sur sela jantant que vous paiye le commisionnaire et que vous lui donnez se quil vous demandera pour sa complaisance eu vous meme donnez lui ce que vous croirez resonnable quand à ma filleule jespaire que vous ne me refuserai pas la satiffastion que jaira de lui faire mes étrene et qua adelle voudra bien lui acheté une robe selon son gous que vous metrai sur mon conte soiye bien persuadé mes cher paran que seserait bien me mortifié si vous me refusiez se plaisir d'ateur je tien baucoup quoique eloignée d'elle quelle se rappelle de moi il nest pas de jours que je ni panse pas alle seulemant mais à toute votre fammille
Monsieur de couvalette me dit de vous dire quil ne pouvait encore venir attandu que ses occupation lui enpechet mes je pance qu'il ne tardera pas)
rien de nouveaux à Moustey, recevez mes cher parans les veux bien sinsere que je fais que le bon dieu vous accorde à tous une et plusieur année de santé et de prosperite cet ce que je vous soite du fon de mon coeur, et je vous embrasse pour mes etraine ne pouvant vous offrir autre chose maman se joint à moi pour en faire de meme adieu votre affectionnee cousine pour la vie


P S joublie de vous dire que jai à quitez le billet à Meur de couvalette

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Moustey 28 Dbre 1838
V. Cazaux
Reçu le 31
Rép [blanc]