Lettre de M. Bergeret adressée à M. Limendous, marchand de vin en gros à Oloron-Sainte-Marie (64)
Archive privée inédite
- Date: 26/01/1872
- Lieu: Araujuzon (64)
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Monsieur. Mr
Limendous. marchand de
vin En gros. oloron st marie
rue carérot
Je suis confu. de faloir vous demandé. Toujour de prolongation. monsieur, vous avez vu le mauvais temps de pluie qui a fait il ma fait. faire un déboulement à la carriere que la marchandisse que javais preparer elle est Enfoui desous la tèrre et desous leau que le Trous de la carriere En est rempli. c'es par çe motif que je ne puis pouint Espediez marchandisse jusque que leau est diminue jesperent que çe moi de fevrier que je pourez les extraire à lors je vous enverez Tous çe que je pourez. Enfin En deus foi je vous paierai soyez Tranquille, vous voyez que je suis chargé de malheur. En Toute chose. quand à moi depuis que javais pris le chocq je ne peu rien faire qui vaille. je vous prie don de ne pouin Tiré aucun mandat sur moi. je serez forçé à le refusez à cause des mes malheurs désuite que jaurais expediez marchandisse vous reseverez Tous çe que je pourez par la poste. de faire frais on ne gagne rien surtous à un homme qui veut payer c'est bien la forçe çe moment si je ne puis. je conte sur vous, à vous du coeur
Limendous. marchand de
vin En gros. oloron st marie
rue carérot
Araujuzon, çe 26 Janvier 1872
à Monsieur. Limendous oloron ste marie marchand de vin en gros |
Je suis confu. de faloir vous demandé. Toujour de prolongation. monsieur, vous avez vu le mauvais temps de pluie qui a fait il ma fait. faire un déboulement à la carriere que la marchandisse que javais preparer elle est Enfoui desous la tèrre et desous leau que le Trous de la carriere En est rempli. c'es par çe motif que je ne puis pouint Espediez marchandisse jusque que leau est diminue jesperent que çe moi de fevrier que je pourez les extraire à lors je vous enverez Tous çe que je pourez. Enfin En deus foi je vous paierai soyez Tranquille, vous voyez que je suis chargé de malheur. En Toute chose. quand à moi depuis que javais pris le chocq je ne peu rien faire qui vaille. je vous prie don de ne pouin Tiré aucun mandat sur moi. je serez forçé à le refusez à cause des mes malheurs désuite que jaurais expediez marchandisse vous reseverez Tous çe que je pourez par la poste. de faire frais on ne gagne rien surtous à un homme qui veut payer c'est bien la forçe çe moment si je ne puis. je conte sur vous, à vous du coeur
Bergeret |
Lettre de M. Bergeret adressée à M. Limendous, marchand de vin en gros à Oloron-Sainte-Marie (64) Archive privée inédite
Date: 04/12/1871
Lieu(x):
Araujuzon
(64)
>> Fonds de M. Limendoux, négociant en vin à Oloron-Sainte-Marie (64)