Lettre de M. Bergeret adressée à M. Limendous, marchand de vin en gros à Oloron-Sainte-Marie (64)
Archive privée inédite
- Date: 04/12/1871
- Lieu: Araujuzon (64)
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Monsieur, Mr
Limendous, marchand
de vin En gros,
oloron ste marie
rue carérot
au moment ou jai réçu votre lettre je voulez vous récrire, pour vous priez de ne pouint être faché de çe que je netiez pouint venu vous Trouver à lépoque que je vous avez fixce et vous dire le motif. mon cher mr jai réçu un échocq. à la jambe bien mauvais heureusement je nai rien de cassé mais je suis sans pouvoir Travailler, autrement. je serez venu vous Trouver Je vien vous priez de nouveau de vouloir mattandre Encore queque jour, vous ne perdriez rien avec moi. je sais que vous êtes raisonable, il y a asez lontemps que vous attandiez mais Enfin je vous prie, d'avoir ègar à ma position, pour le moment de me forcer vous nan tirez rien de Tous. il met inposible pour le moment de vous solder, mais si vous voulez vous couvrir. de c'ette somme vous pouvez me Tiré un mandat payable àu 3 fevrier. je le solderez au jour fixçe et si je vien vous solder à vant, vous retirez mon mandat, si lechocq ne metait pauint arive je serez venu. vous solder, vous voyez bien alors que je ne veu pouint vous faire perdre du Tens mais c'est bien la forçe. jattand de vous c'ette Bonté je sais et jai Trouvé En vous un Brave hami et si je puis venir a vant, je viendrais sil fait beau temps et que je puise Travaillé jariveré a van çe jour
Limendous, marchand
de vin En gros,
oloron ste marie
rue carérot
Araujuzon, le 4 xbre 1871
à Monsieur, limendous oloron ste marie |
au moment ou jai réçu votre lettre je voulez vous récrire, pour vous priez de ne pouint être faché de çe que je netiez pouint venu vous Trouver à lépoque que je vous avez fixce et vous dire le motif. mon cher mr jai réçu un échocq. à la jambe bien mauvais heureusement je nai rien de cassé mais je suis sans pouvoir Travailler, autrement. je serez venu vous Trouver Je vien vous priez de nouveau de vouloir mattandre Encore queque jour, vous ne perdriez rien avec moi. je sais que vous êtes raisonable, il y a asez lontemps que vous attandiez mais Enfin je vous prie, d'avoir ègar à ma position, pour le moment de me forcer vous nan tirez rien de Tous. il met inposible pour le moment de vous solder, mais si vous voulez vous couvrir. de c'ette somme vous pouvez me Tiré un mandat payable àu 3 fevrier. je le solderez au jour fixçe et si je vien vous solder à vant, vous retirez mon mandat, si lechocq ne metait pauint arive je serez venu. vous solder, vous voyez bien alors que je ne veu pouint vous faire perdre du Tens mais c'est bien la forçe. jattand de vous c'ette Bonté je sais et jai Trouvé En vous un Brave hami et si je puis venir a vant, je viendrais sil fait beau temps et que je puise Travaillé jariveré a van çe jour
je vous salue de coeur Bergeret |
Lettre de M. Bergeret adressée à M. Limendous, marchand de vin en gros à Oloron-Sainte-Marie (64) Archive privée inédite
Date: 26/01/1872
Lieu(x):
Araujuzon
(64)
>> Fonds de M. Limendoux, négociant en vin à Oloron-Sainte-Marie (64)