Lettre de M. Hosseleyre adressée à B. Hiard fils, à Mugron (40)
Archive privée inédite
- Date: 15/03/1829
- Lieu: Bordeaux (33)
© Toute utilisation de cette transcription est soumise à autorisation
[La transcription peut comporter des erreurs]
Monsieur
Monsieur Bd Hiard fils
à Mugron
(Landes) par Tartas
J'ai reçu, mon cher Adain, vos deux lettres des 9 & 13 ct. J'étois au moment de tirer sur vous la solde duë à Mr Lafaye Je ordre de Samara, lorsque votre remise de f. 1000 sur apiau aîné m'est parvenuë. Vous en avez crédit. il reste maintenant peu de chose à revenir au dt Sr Lafaye
Camors nous a compté cent pistoles à valoir sur s/cte et il nous a reglé ensuite en ses billets, payables un chaque mois à partir de fin mai prochain. il a fallu en passer par là. J'espère que vous voudrez bien continuer de vous charger d'en faire le recouvrement.
J'ai fourni il y a quelque temps à une fille nommée Françoise Dubedout native de Mugron un mandat sur vous de trente francs qu'elle a envoyé à sa mère. Comme elle n'a pas reçu de réponse, elle craint que sa lettre ne soit égarée. vous m'obligerez de me marquer si cet effet vous a été présenté.
Notre foire a été très mauvaise; on devait s'y attendre à cause de la mévente des vins. du reste, il y a un malaise général dans toutes les affaires.
Adieu, mon cher Adain, je vous renouvelle l'assurance de mon sincère attachement
v/ n'oublierez pas en reglement de compte de retenir les poids des lettres
Bordx 15 Mars 1829
Hosseleyre
Recue le 17 id.
rep le 18 id.
Monsieur Bd Hiard fils
à Mugron
(Landes) par Tartas
| Bordeaux, le 15 Mars 1829 |
J'ai reçu, mon cher Adain, vos deux lettres des 9 & 13 ct. J'étois au moment de tirer sur vous la solde duë à Mr Lafaye Je ordre de Samara, lorsque votre remise de f. 1000 sur apiau aîné m'est parvenuë. Vous en avez crédit. il reste maintenant peu de chose à revenir au dt Sr Lafaye
Camors nous a compté cent pistoles à valoir sur s/cte et il nous a reglé ensuite en ses billets, payables un chaque mois à partir de fin mai prochain. il a fallu en passer par là. J'espère que vous voudrez bien continuer de vous charger d'en faire le recouvrement.
J'ai fourni il y a quelque temps à une fille nommée Françoise Dubedout native de Mugron un mandat sur vous de trente francs qu'elle a envoyé à sa mère. Comme elle n'a pas reçu de réponse, elle craint que sa lettre ne soit égarée. vous m'obligerez de me marquer si cet effet vous a été présenté.
Notre foire a été très mauvaise; on devait s'y attendre à cause de la mévente des vins. du reste, il y a un malaise général dans toutes les affaires.
Adieu, mon cher Adain, je vous renouvelle l'assurance de mon sincère attachement
| Hosseleyre |
v/ n'oublierez pas en reglement de compte de retenir les poids des lettres
Bordx 15 Mars 1829
Hosseleyre
Recue le 17 id.
rep le 18 id.
Lettre de M. Hosseleyre adressée à MM. B. Hiard et Cie, à Mugron (40) Archive privée inédite
Date: 27/12/1856
Lieu(x):
Bordeaux
(33)